Il a fallu qu'un jour Dieu appelle
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
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À un ami (de mes pensées)
--> Conséquences de la foi
Lorsque nous témoignons de Jésus-Christ, l’opposition ressentie avec nos interlocuteurs est naturelle puisque la prédication de la croix est une folie pour ceux qui se perdent (1 Corinthiens 1.18). Par contre, si nous ressentons une opposition au sein de notre famille, il s’agit là d’une autre affliction plus douloureuse mais qui ne doit pas nous étonner. La souffrance ressentie nous semble injuste, peut-être parce que nos proches ne nous prennent plus au sérieux comme auparavant. Peut-être nous regardent-ils maintenant avec moins d’intérêt et ne semblent plus partager la même ferveur dans la foi. Si c’est le cas, nous pouvons comprendre comme jamais auparavant, qu’une famille dont tous les membres auraient la même foi vivante en Christ, tient plus du miracle que de l’évidence !
Jésus lui-même n’a pas été compris dans sa famille ni chez les siens. Ses frères ne croyaient pas en lui (Jean 7.5). Au plus fort de son ministère, ses parents voulaient même se saisir de lui, pensant qu’il avait perdu la raison (Marc 3.21) ! Jésus a ainsi fait l’expérience qu’un prophète est respecté partout, excepté dans sa ville natale, sa parenté et sa famille (Marc 6.4).
"Petit ami de mes pensées"
Jésus lui-même n’a pas été compris dans sa famille ni chez les siens. Ses frères ne croyaient pas en lui (Jean 7.5). Au plus fort de son ministère, ses parents voulaient même se saisir de lui, pensant qu’il avait perdu la raison (Marc 3.21) ! Jésus a ainsi fait l’expérience qu’un prophète est respecté partout, excepté dans sa ville natale, sa parenté et sa famille (Marc 6.4).
"Petit ami de mes pensées"
Ecrit par alberto, le Mardi 4 Août 2009, 09:51 dans la rubrique Actualités.
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