Il a fallu qu'un jour Dieu appelle
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
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“Non, je ne veux pas le savoir !“
Il faut savoir qu’un jour tout s’arrête ! “Non, je ne veux pas le savoir“, dit la conscience collective*. Chaque jour des images tragiques (d’accidents, d’incendies, de guerres, de séismes, de maladies...) nous parviennent à l’esprit mais le plus souvent en restent au seuil de l’information. Ces images restent en surface de notre interprétation. Comment pourrions-nous mettre notre psyche (+ notre intellect) dans des tonnes d’images ? C’est impossible ! L’homme ne peut qu’être “voyeur“ de toutes les images qu’il voit. Il ne peut les interpréter vraiment. Et dans son esprit il ne peut qu’y avoir saturation.
Pourtant, en soi, une image en dit long ! Peut-être faut-il apprendre à sélectionner : sélectionner ses infos, sélectionner son images... comme on sélectionne un livre, une pièce de théâtre. Hélas, la saturation enlève tout désir de comprendre ainsi que tout désir de sélectionner ! C’est même une situation où tout s’empire : plus on voit d’images, plus on en veut ! Il n’y a pas de solution sinon celle de fermer les yeux. Je veux dire fermer la télé (son média), sortir et aller se promener dans un lieu calme et de verdure.
Qui arrive à regarder et observer un brin d’herbe dans son détail a déjà remporté une belle victoire sur lui-même. Parce qu’un brin d’herbe nous renseigne bien mieux sur notre existence que mille romans, ou mille pièces de théâtre, ou mille journaux télévisés !
A chacun de faire sa découverte.
*Normalement la conscience, quand elle est saine, dit : „Je veux le savoir“.
Ecrit par alberto, le Lundi 20 Juillet 2009, 13:38 dans la rubrique Actualités.
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Commentaires :
Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
ben oui
quel joli mot "certitude" !
Je cherchais la chanson où il y avait ce mot, ça me revient : tombe la neige.
... mais dis donc S. moi je la dis à mon voisin LA vérité !!! je ne la détiens pas ! Qu'est-ce que tu te plains ?
quel joli mot "certitude" !
Je cherchais la chanson où il y avait ce mot, ça me revient : tombe la neige.
... mais dis donc S. moi je la dis à mon voisin LA vérité !!! je ne la détiens pas ! Qu'est-ce que tu te plains ?
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
Avoue, Alberto : Simone est ton égérie secrète. C'est elle qui t'a inspiré le titre de ta note, non ?
Mais allons, il y a "pire" que les certitudes : souvenez-vous des certains.
http://micheldetiarelov.hautetfort.com/archive/2008/03/06/blanche-neige-et-les-certains.html
On s'amuse comme on peut...
Mais allons, il y a "pire" que les certitudes : souvenez-vous des certains.
http://micheldetiarelov.hautetfort.com/archive/2008/03/06/blanche-neige-et-les-certains.html
On s'amuse comme on peut...
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
Mais alors ? si j'en crois Michel, serais-je à moi toute seule une " conscience collective " ? Oh ! mes pauvres chevilles ... Je ne vais pas tarder à me transformer en mongolfière ! J'avais bien saisi l'allusion au théâtre et puis quoi d'autre encore qui m'était destiné ???? Je ne sais plus parce que le blog d'Alberto est tellement bien fichu que si on répond à un commentaire en particulier, on ne retrouve plus le texte initial qui reste caché. Allez, bonne nuit, les copains ! (la journée fut rude)
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
Une "conscience collective" ? Bigre. Vous virez au bolchévique, là ! Ce qui tombe rudement bien : on demande de toute urgence dans leurs rangs une correctrice orthographique. Sinon c'est leur révolution qui va se transformer en montgolfière... modèle qui se dégonfle en cours de route.
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
"La conscience collective, signifie chaque conscience de l'ensemble ! (toutes les
consciences sont détraquées dans le sens que tous sont pécheurs ! Ce
n'est pas moi qui le dit, c'est la Bible, ce n'est donc pas MA vérité. Ma vérité se nomme Jésus, lui qui a dit :“je suis la vérité...") Moi, personnellement, je n'ai pas de vérité.
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
Michel, j’ai écrit ce billet avant hier soir (le 19) après avoir regardé le journal télévisé allemand. Dans la petite ville de Nachterstedt, plusieurs maisons ont disparu en quelques secondes enfouis dans la terre à cause d’un glissement de terrain. Ces maisons étaient bâties sur une zone d’exploitation minière.
Dans mon billet, lorsqu’il est question de “sélectionner un livre ou une pièce de théâtre“, là on pense à Simone bien sûr. Puisque c’est ce qu’elle fait ! Elle est donc sur une bonne voie... D’autant qu’en vivant à Paris (la ville qui détruit), elle a su se réfreiner j’imagine devant beaucoup de choses et a réussi à se préserver dans un certain retrait, ce qui laisse supposer une certaine humilité d’esprit (et d’âme). Après tout, Dieu peut très bien lui envoyer maintenant la pluie de l’arrière saison... A elle de saisir la chance de recevoir non pas la triste mais joyeuse certitude que Jésus est réellement réssuscité !
Dans mon billet, lorsqu’il est question de “sélectionner un livre ou une pièce de théâtre“, là on pense à Simone bien sûr. Puisque c’est ce qu’elle fait ! Elle est donc sur une bonne voie... D’autant qu’en vivant à Paris (la ville qui détruit), elle a su se réfreiner j’imagine devant beaucoup de choses et a réussi à se préserver dans un certain retrait, ce qui laisse supposer une certaine humilité d’esprit (et d’âme). Après tout, Dieu peut très bien lui envoyer maintenant la pluie de l’arrière saison... A elle de saisir la chance de recevoir non pas la triste mais joyeuse certitude que Jésus est réellement réssuscité !
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
" Paris, la ville qui détruit " ??? ...
Se laisse détruire qui veut. Il n'y a pas de lieu pour cela.
Paris construit aussi puisqu'elle apporte ce que d'autres ne peuvent pas fournir.
Rassure toi, où que j'aille, je me déplace bien à l'abri dans ma bulle autoprotectrice car si je ne me protège pas, personne ne le fera pour moi. C'est fini, ça je le sais.
Se laisse détruire qui veut. Il n'y a pas de lieu pour cela.
Paris construit aussi puisqu'elle apporte ce que d'autres ne peuvent pas fournir.
Rassure toi, où que j'aille, je me déplace bien à l'abri dans ma bulle autoprotectrice car si je ne me protège pas, personne ne le fera pour moi. C'est fini, ça je le sais.
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Re: savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
C'est TA vérité Alberto. Pas obligatoirement celle des autres ... Tu peux admettre ça ?
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savoir, pas savoir ... (on fait avec, c'est tout)
Bien sûr, puisque tu détiens LA vérité.
Il n'y a rien de pire que les gens qui ont des certitudes ...