Il a fallu qu'un jour Dieu appelle
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
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Non les gens n’aiment pas que...
Veux-tu vraiment lire mon article ? Sais-tu que ta liberté ne t’oblige pas à le lire ? Ta curiosité peut-être ! Ah tu es bien comme moi !
Non les gens (braves ou pas braves) n’aiment pas qu’on leur parle de Dieu. Pour eux, c’est un mot tabou. Ils en ont peur. Ils en redoutent le pire. Vous pouvez leur parler de tout, mais pas de Dieu.
“La lumière est venue dans le monde et le monde ne l’a pas reçue“. Pourtant, les gens qui voient le soleil se lever chaque matin, s’imaginent vivre dans la lumière. Ils n’ont pas appris que la lumière éclairant l’extérieur n’est pas du tout la lumière éclairant l’intérieur. Ils n’ont pas appris à voir avec les yeux de l’intérieur, avec les yeux du coeur, comme on dit parfois. Ils ne voient donc qu’avec les yeux de l’extérieur, les yeux de la tête. En un mot, les gens refusent l’attribut le plus précieux de leur humanité : ils refusent la spiritualité.
Hermétiquement fermée, la porte du coeur demeure. Personne n’a le droit de l’ouvrir ! Même pas l’intéressé lui-même au risque de se trouver à nu et couvert de honte. Il a peur. Et le jour où il décide de l’ouvrir (son coeur), il n’y arrive pas parce que trop de temps et d’intempéries auront passé.
Non, les gens n’aiment pas qu’on leur parle de Dieu. Ils se déclarent libres et se promettent la lune ainsi que les mondes les plus justes. Ils se déclarent justes, pour éliminer toute idée de justification. Ils croient en eux-même et s’imaginent expliquer toutes les choses du monde sous le couvert de la science (qui a bon dos). Ils aiment la transparence mais se mentent eux-même, oubliant que les yeux de la tête sont incapables de voir au-delà de l’horizon (et encore quand il n'est pas brumeux) !
Non, les gens n’aiment pas qu’on leur parle de Dieu. Comme les chats échaudés qui craignent l’eau froide, ils préfèrent qu’on leur parle de machines. De robots peut-être. De chimères, de rêves, d’utopies. De n’importe quoi, mais pas de Dieu. Ainsi, à jamais, le temps les emporte comme l’avorton pauvre sur qui l’on pleure.
“La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. Il y eut un homme envoyé de Dieu: son nom était Jean (Jean-Baptiste). Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui. Il n'était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière. Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. Elle (Jésus) est venue chez les siens (chez les Juifs), et les siens ne l'ont point reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu.“
(Evangile de Jean, ch.1)
Non les gens (braves ou pas braves) n’aiment pas qu’on leur parle de Dieu. Pour eux, c’est un mot tabou. Ils en ont peur. Ils en redoutent le pire. Vous pouvez leur parler de tout, mais pas de Dieu.
“La lumière est venue dans le monde et le monde ne l’a pas reçue“. Pourtant, les gens qui voient le soleil se lever chaque matin, s’imaginent vivre dans la lumière. Ils n’ont pas appris que la lumière éclairant l’extérieur n’est pas du tout la lumière éclairant l’intérieur. Ils n’ont pas appris à voir avec les yeux de l’intérieur, avec les yeux du coeur, comme on dit parfois. Ils ne voient donc qu’avec les yeux de l’extérieur, les yeux de la tête. En un mot, les gens refusent l’attribut le plus précieux de leur humanité : ils refusent la spiritualité.
Hermétiquement fermée, la porte du coeur demeure. Personne n’a le droit de l’ouvrir ! Même pas l’intéressé lui-même au risque de se trouver à nu et couvert de honte. Il a peur. Et le jour où il décide de l’ouvrir (son coeur), il n’y arrive pas parce que trop de temps et d’intempéries auront passé.
Non, les gens n’aiment pas qu’on leur parle de Dieu. Ils se déclarent libres et se promettent la lune ainsi que les mondes les plus justes. Ils se déclarent justes, pour éliminer toute idée de justification. Ils croient en eux-même et s’imaginent expliquer toutes les choses du monde sous le couvert de la science (qui a bon dos). Ils aiment la transparence mais se mentent eux-même, oubliant que les yeux de la tête sont incapables de voir au-delà de l’horizon (et encore quand il n'est pas brumeux) !
Non, les gens n’aiment pas qu’on leur parle de Dieu. Comme les chats échaudés qui craignent l’eau froide, ils préfèrent qu’on leur parle de machines. De robots peut-être. De chimères, de rêves, d’utopies. De n’importe quoi, mais pas de Dieu. Ainsi, à jamais, le temps les emporte comme l’avorton pauvre sur qui l’on pleure.
“La lumière luit dans les ténèbres, et les ténèbres ne l'ont point reçue. Il y eut un homme envoyé de Dieu: son nom était Jean (Jean-Baptiste). Il vint pour servir de témoin, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui. Il n'était pas la lumière, mais il parut pour rendre témoignage à la lumière. Cette lumière était la véritable lumière, qui, en venant dans le monde, éclaire tout homme. Elle était dans le monde, et le monde a été fait par elle, et le monde ne l'a point connue. Elle (Jésus) est venue chez les siens (chez les Juifs), et les siens ne l'ont point reçue. Mais à tous ceux qui l'ont reçue, à ceux qui croient en son nom, elle a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu, lesquels sont nés, non du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l'homme, mais de Dieu.“
(Evangile de Jean, ch.1)
Ecrit par alberto, le Mardi 19 Mai 2009, 09:49 dans la rubrique Actualités.
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Commentaires :
Re:
Voilà une franchise que j'aime. En réponse, je ne peux dire qu'une chose : je suis totalement d'accord avec toi. Toutefois, cet accord se situe sur les trente premières années de ma vie au cours desquelles, comme toi, j'ai nié l'existence de Dieu. Après, après seulement, quelque chose s'est passé, et j'ai été convaincu de l'existence de Dieu, ce qui a changé ma vie jusqu'à ce jour.
Reçois tout mon respect et tous mes souhaits pour la meilleure continuation de ta vie.
Reçois tout mon respect et tous mes souhaits pour la meilleure continuation de ta vie.
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Re:
Rappel des Dix Commandements (Lien)
Stupidchick, tu as des pensées mauvaises envers moi. Lis ces quelques lignes encourageantes :
"Jésus, se retournant, dit à Pierre : Arrière de moi, Satan! tu m'es en scandale; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes (ou des femmes)." (Matthieu 16.23). Pierre n'était pas converti à ce moment là. Il ne comprenait rien de ce que Jésus faisait et allait faire... Plus tard il se convertit et devint le grand apôtre que l'on sait.
Les pensées de l'homme (ou de la femme) ne sont pas les pensées de Dieu :
"C'est du coeur (et non du cerveau) que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies." (Matthieu 15.19)
"Mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l'Éternel. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. Comme la pluie et la neige descendent des cieux, et n'y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : Elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. " (Esaïe 55.8-12)
Stupidchick, tu as des pensées mauvaises envers moi. Lis ces quelques lignes encourageantes :
"Jésus, se retournant, dit à Pierre : Arrière de moi, Satan! tu m'es en scandale; car tes pensées ne sont pas les pensées de Dieu, mais celles des hommes (ou des femmes)." (Matthieu 16.23). Pierre n'était pas converti à ce moment là. Il ne comprenait rien de ce que Jésus faisait et allait faire... Plus tard il se convertit et devint le grand apôtre que l'on sait.
Les pensées de l'homme (ou de la femme) ne sont pas les pensées de Dieu :
"C'est du coeur (et non du cerveau) que viennent les mauvaises pensées, les meurtres, les adultères, les impudicités, les vols, les faux témoignages, les calomnies." (Matthieu 15.19)
"Mes pensées ne sont pas vos pensées, et vos voies ne sont pas mes voies, dit l'Éternel. Autant les cieux sont élevés au-dessus de la terre, autant mes voies sont élevées au-dessus de vos voies, et mes pensées au-dessus de vos pensées. Comme la pluie et la neige descendent des cieux, et n'y retournent pas sans avoir arrosé, fécondé la terre, et fait germer les plantes, sans avoir donné de la semence au semeur et du pain à celui qui mange, ainsi en est-il de ma parole, qui sort de ma bouche : Elle ne retourne point à moi sans effet, sans avoir exécuté ma volonté et accompli mes desseins. " (Esaïe 55.8-12)
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pour le devoir de mémoire
Merci pour le lien, Alberto
Tu auras, cependant noté ceci :
"Pas besoin d'être Jérémie,
Pour deviner le sort qui m'est promis,
S'ils trouvent une corde à leur goût,
Ils me la passeront au cou,
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome"
Pour moi, la notion de Dieu n'est certainement pas tabou, loin de là.
Mais il est vrai que je n'aime pas tout mélanger, j'ai un blog "récréatif"(j'ai choisi cela ) et ce n'est pas l'endroit pour parler de Dieu.
Il faut imaginer que pour certaines personnes, c'est un questionnement intime et une recherche personnelle, il faut laisser le choix aux personnes.
Pour ma part, j'aime parler des textes avec les érudits, c'est ma formation d'historienne mais encore une fois, c'est quelque chose que je ne partagerai pas sur joueb au même titre que je ne partagerai pas certains aspects de ma vie.
Je pense fondamentalement que l'homme a son libre arbitre dans le sens ou il peut dire oui ou non à une chose ou à une autre.
Et quand l'on évoque par exemple, le procès d'Ilan Halimi, on peut parler de ça , et penser les agissements de personnes qui ont eu le choix d'agir ou ne pas agir.
Je ne dis pas plus que cela!
L'homme est responsable de ses actes.
Alors pour le coeur et le cerveau, je procède avec des méthodes d'historienne.
Le cœur a pendant longtemps été considéré comme le siège des sensations et du mouvement volontaire. Sans doute l'augmentation du rythme cardiaque lors des émotions est-elle à l'origine de cette croyance.
Aristote (IVe siècle av. J.-C.) lui a attribué ce rôle, tandis que Galien (IIe siècle) situait plutôt ces fonctions dans le cerveau.
Le Moyen Âge a longtemps hésité entre ces deux conceptions.
Ce n'est qu'à partir du XVIIIe siècle que le cœur commence à être détrôné définitivement de sa fonction de siège des sensations.
Les textes se ré-interprètent, aujourd'hui, Matthieu, parlerait de cerveau avec les avancées de la biologie mais tu remarqueras que coeur ou cerveau, le sens n'est pas altéré.
Je crois Alberto mais je n'en suis pas sûre non plus, que tu as une volonté de démonstration, bon mais pourquoi pas.
Mais n'en déduis pas que les "autres" plus silencieux ne font pas leur cheminement.
Tu auras, cependant noté ceci :
"Pas besoin d'être Jérémie,
Pour deviner le sort qui m'est promis,
S'ils trouvent une corde à leur goût,
Ils me la passeront au cou,
Je ne fait pourtant de tort à personne,
En suivant les chemins qui ne mènent pas à Rome"
Pour moi, la notion de Dieu n'est certainement pas tabou, loin de là.
Mais il est vrai que je n'aime pas tout mélanger, j'ai un blog "récréatif"(j'ai choisi cela ) et ce n'est pas l'endroit pour parler de Dieu.
Il faut imaginer que pour certaines personnes, c'est un questionnement intime et une recherche personnelle, il faut laisser le choix aux personnes.
Pour ma part, j'aime parler des textes avec les érudits, c'est ma formation d'historienne mais encore une fois, c'est quelque chose que je ne partagerai pas sur joueb au même titre que je ne partagerai pas certains aspects de ma vie.
Je pense fondamentalement que l'homme a son libre arbitre dans le sens ou il peut dire oui ou non à une chose ou à une autre.
Et quand l'on évoque par exemple, le procès d'Ilan Halimi, on peut parler de ça , et penser les agissements de personnes qui ont eu le choix d'agir ou ne pas agir.
Je ne dis pas plus que cela!
L'homme est responsable de ses actes.
Alors pour le coeur et le cerveau, je procède avec des méthodes d'historienne.
Le cœur a pendant longtemps été considéré comme le siège des sensations et du mouvement volontaire. Sans doute l'augmentation du rythme cardiaque lors des émotions est-elle à l'origine de cette croyance.
Aristote (IVe siècle av. J.-C.) lui a attribué ce rôle, tandis que Galien (IIe siècle) situait plutôt ces fonctions dans le cerveau.
Le Moyen Âge a longtemps hésité entre ces deux conceptions.
Ce n'est qu'à partir du XVIIIe siècle que le cœur commence à être détrôné définitivement de sa fonction de siège des sensations.
Les textes se ré-interprètent, aujourd'hui, Matthieu, parlerait de cerveau avec les avancées de la biologie mais tu remarqueras que coeur ou cerveau, le sens n'est pas altéré.
Je crois Alberto mais je n'en suis pas sûre non plus, que tu as une volonté de démonstration, bon mais pourquoi pas.
Mais n'en déduis pas que les "autres" plus silencieux ne font pas leur cheminement.
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Re: pour le devoir de mémoire
Ici c’est l’endroit pour parler de Dieu (ne t’étonne donc pas si j’en parle). Très peu de gens y viennent. Ceux qui y viennent sont en recherche, et je prie pour eux.
Deux approches
Oui, il y a deux approches. L’une s’appelle “compliqué, très compliqué“, et l’autre “simple, très simple“ (qui est la mienne).
Je ferais cette remarque : L’approche “compliquée“ devient de plus en plus compliquée dès lors que par un refus (un choix), l’on s’ampute de cette petite phrase : “parce que nous sommes faits à l'image de Dieu“...
En revanche, avec l’acceptation par la foi de l’acte divin (créatif ou évolutif, peu importe), l’approche devient simple, de plus en plus simple.
Je m’explique :
Chaque vie est précieuse devant l'homme. Mais devant Dieu, chaque vie est infiniment plus précieuse. C’est pour chaque vie aussi que son Fils est mort sur la croix (pour toi comme pour moi). C’est aussi ce même Fils qui est revenu à la vie après avoir été mort, et qui maintenant est à la disposition de chaque être humain, 24h sur 24. Son nom est Jésus (c’est connu).
Précision :
Dieu est Esprit. On ne le voit pas. On ne voit pas le Fils de Dieu non plus. On ne voit pas non plus l’Esprit que Dieu donne à un être qui s’ouvre à la foi, qui se convertit, et qui devient une nouvelle créature. On n’en voit que les effets.
Sur ce blog, on voit les effets de ma vie et de la nouvelle créture que je suis devenu depuis ma conversion, depuis le jour où je me suis ouvert à Dieu et à ses dispositions. (récit de ce vécu : lien)
Démonstration peut-être, mais témoignage :
Maintenant, pour Madame ou Monsieur Toutlemonde, reste à classer dans sa vie les choses importantes et les choses moins importantes. Reste à définir les priorités. La plupart des gens sont incapables de penser de la sorte, trop de choses les embrouillent dans le coeur et le cerveau, et jusque dans le ventre (compliqué, trés compliqué). J’ai connu cet état durant les dix années qui ont précédé ma conversion. L’aboutissement vers une clarté satisfaisante est impossible, tellement impossible que le sens réel de la vie échappe à la plupart des gens, même des intellectuels du plus haut niveau. Et les gens finissent par s’en fiche. Ils trouvent des ersatzs de toutes sortes qui remplacent le Dieu vivant, ou alors ils s’enivrent par toutes sortes de moyens. Parce que les gens ignorent que pour vivre réellement, ils ont besoin de Dieu. Ils sont inconscients de ce besoin, et leur conscience s’en trouvant dérèglée se met à refouler tout ce qui pourrait les remettre sur la voie réelle menant à Dieu, à savoir Jésus-Christ. (d’où ma "démonstration" et le sens de ce modeste blog que je fais depuis mon bureau).
Le véritable tragique avec lequel les gens jouent avec leur existence n’est conscient que dans l’Esprit qui a compris le sens de la rédemption. L’esprit commun des uns et des autres n’y comprend rien et se dresse automatiquement en opposition à toute idée de rachat de l'âme.
Bien sûr que la question de Dieu rejoint l’intime. Bien sûr qu’il faut laisser les gens faire leur choix et que beaucoup font leur cheminement dans le silence. Et bien sûr que l’homme est responsable de ses actes.
Personnellement je ne suis qu’un chrétien, c’est à dire une personne qui a rencontré Dieu (je le répète : on ne le voit pas) à un moment donné et qui depuis vit avec lui, et qui bénéficie ainsi de son Esprit, comme tous les chrétiens (non pas de nom mais les chrétiens réels, ils sont des millions, ils n’ont pas tous un blog comme moi, c’est tout). S’il y a de ma part une démonstration, il y a surtout un témoignage. Rien d’autres. Et peut-être plus d’imperfection que de perfection !
Tu vois Sarah-k, nous ne nous sommes jamais vus, pourtant il y a déjà une idée de "rencontre" lorsque nous communiquons sur le net.
Deux approches
Oui, il y a deux approches. L’une s’appelle “compliqué, très compliqué“, et l’autre “simple, très simple“ (qui est la mienne).
Je ferais cette remarque : L’approche “compliquée“ devient de plus en plus compliquée dès lors que par un refus (un choix), l’on s’ampute de cette petite phrase : “parce que nous sommes faits à l'image de Dieu“...
En revanche, avec l’acceptation par la foi de l’acte divin (créatif ou évolutif, peu importe), l’approche devient simple, de plus en plus simple.
Je m’explique :
Chaque vie est précieuse devant l'homme. Mais devant Dieu, chaque vie est infiniment plus précieuse. C’est pour chaque vie aussi que son Fils est mort sur la croix (pour toi comme pour moi). C’est aussi ce même Fils qui est revenu à la vie après avoir été mort, et qui maintenant est à la disposition de chaque être humain, 24h sur 24. Son nom est Jésus (c’est connu).
Précision :
Dieu est Esprit. On ne le voit pas. On ne voit pas le Fils de Dieu non plus. On ne voit pas non plus l’Esprit que Dieu donne à un être qui s’ouvre à la foi, qui se convertit, et qui devient une nouvelle créature. On n’en voit que les effets.
Sur ce blog, on voit les effets de ma vie et de la nouvelle créture que je suis devenu depuis ma conversion, depuis le jour où je me suis ouvert à Dieu et à ses dispositions. (récit de ce vécu : lien)
Démonstration peut-être, mais témoignage :
Maintenant, pour Madame ou Monsieur Toutlemonde, reste à classer dans sa vie les choses importantes et les choses moins importantes. Reste à définir les priorités. La plupart des gens sont incapables de penser de la sorte, trop de choses les embrouillent dans le coeur et le cerveau, et jusque dans le ventre (compliqué, trés compliqué). J’ai connu cet état durant les dix années qui ont précédé ma conversion. L’aboutissement vers une clarté satisfaisante est impossible, tellement impossible que le sens réel de la vie échappe à la plupart des gens, même des intellectuels du plus haut niveau. Et les gens finissent par s’en fiche. Ils trouvent des ersatzs de toutes sortes qui remplacent le Dieu vivant, ou alors ils s’enivrent par toutes sortes de moyens. Parce que les gens ignorent que pour vivre réellement, ils ont besoin de Dieu. Ils sont inconscients de ce besoin, et leur conscience s’en trouvant dérèglée se met à refouler tout ce qui pourrait les remettre sur la voie réelle menant à Dieu, à savoir Jésus-Christ. (d’où ma "démonstration" et le sens de ce modeste blog que je fais depuis mon bureau).
Le véritable tragique avec lequel les gens jouent avec leur existence n’est conscient que dans l’Esprit qui a compris le sens de la rédemption. L’esprit commun des uns et des autres n’y comprend rien et se dresse automatiquement en opposition à toute idée de rachat de l'âme.
Bien sûr que la question de Dieu rejoint l’intime. Bien sûr qu’il faut laisser les gens faire leur choix et que beaucoup font leur cheminement dans le silence. Et bien sûr que l’homme est responsable de ses actes.
Personnellement je ne suis qu’un chrétien, c’est à dire une personne qui a rencontré Dieu (je le répète : on ne le voit pas) à un moment donné et qui depuis vit avec lui, et qui bénéficie ainsi de son Esprit, comme tous les chrétiens (non pas de nom mais les chrétiens réels, ils sont des millions, ils n’ont pas tous un blog comme moi, c’est tout). S’il y a de ma part une démonstration, il y a surtout un témoignage. Rien d’autres. Et peut-être plus d’imperfection que de perfection !
Tu vois Sarah-k, nous ne nous sommes jamais vus, pourtant il y a déjà une idée de "rencontre" lorsque nous communiquons sur le net.
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Lecture
Je viens de lire tes récits.
C'est très émouvant, j'ai pu ressentir dans le début de ton récit et à travers tes mots, cette solitude.
Tu as fait une rencontre, c'est indéniable.
Ce qui me pose question, c'est cette volonté de jeter aux orties, une partie de ta vie, car enfin, c'est elle ci qui t'a permis cette rencontre.
Je comprends aussi cette volonté de témoignage.
En tout cas, tu écris très bien.
C'est très émouvant, j'ai pu ressentir dans le début de ton récit et à travers tes mots, cette solitude.
Tu as fait une rencontre, c'est indéniable.
Ce qui me pose question, c'est cette volonté de jeter aux orties, une partie de ta vie, car enfin, c'est elle ci qui t'a permis cette rencontre.
Je comprends aussi cette volonté de témoignage.
En tout cas, tu écris très bien.
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Re: Lecture
Tu as lu mon récit Sarah-k ! J'aurai pas écrit pour rien ! Je te remercie.
Difficile d'expliquer "cette volonté de jeter aux orties une partie de ma vie"... C'est un peu comme si j'avais été vraiment mort. Et mon récit me sert d'abord à moi pour comprendre et pour avoir des repères afin de ne pas oublier d'où je viens. En fait j'ai gardé en condensé cette partie de ma vie sous la forme de plusieurs tableaux et de plusieurs textes très précis, des choses qui contiennent l'ensemble de ma pensée (je n'en ai pas d'autres). Je peux y puiser quand je veux, telle ou telle idée, ou telle ou telle émotion. Et c'est vrai que l'ensemble me sert pour témoigner.
Difficile d'expliquer "cette volonté de jeter aux orties une partie de ma vie"... C'est un peu comme si j'avais été vraiment mort. Et mon récit me sert d'abord à moi pour comprendre et pour avoir des repères afin de ne pas oublier d'où je viens. En fait j'ai gardé en condensé cette partie de ma vie sous la forme de plusieurs tableaux et de plusieurs textes très précis, des choses qui contiennent l'ensemble de ma pensée (je n'en ai pas d'autres). Je peux y puiser quand je veux, telle ou telle idée, ou telle ou telle émotion. Et c'est vrai que l'ensemble me sert pour témoigner.
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"Ils en ont peur." En ce qui me concerne, pas du tout. Ca me rend juste mal à l'aise de ne pas pouvoir être tout à fait franc, ne souhaitant généralement pas blesser les gens et remettre en cause ce en quoi ils croient. Ce qui rend la conversation sur ce thème impossible: le croyant me parlera comme d'une évidence de quelque chose qui pour moi n'existe pas, ça tourne vite au dialogue de sourds. J'imagine que c'est la même raison qui pousse beaucoup de gens à ne pas vouloir s'attarder sur ce thème.
"les gens refusent l’attribut le plus précieux de leur humanité : ils refusent la spiritualité." Je ne suis pas persuadé que spiritualité et religion sont synonymes, ni ne vont forcément de pair.
"(ils) s’imaginent expliquer toutes les choses du monde sous le couvert de la science (qui a bon dos)" et d'autres s'imaginent tout expliquer par Dieu, qui a (sacrément) bon dos lui aussi (et même le dos sacrément solide pour continuer à supporter sa création).
"De chimères, de rêves, d’utopies. De n’importe quoi, mais pas de Dieu." Sauf que pour certains, justement, Dieu est une chimère, une utopie. Une vue de l'esprit. Une façon imagée d'expliquer l'inexplicable, d'instaurer des règles morales en les justifiant par une autorité supérieure, d'alléger la peur universelle de la mort.
Je n'ai rien contre ces règles morales (celles des Ecritures, pas celles de ce benêt de Benoît), ni contre les valeurs chrétiennes, en fait j'y adhère complètement (ou presque), mais je me désole parfois que les humains ne les aient pas considérées comme naturellement intrinsèques à eux-mêmes et aient eu besoin de s'inventer un être supérieur qui leur apporte la "lumière", leur "dicte", voire leur "impose" leurs règles de vie ainsi que le respect et l'amour de son prochain.
Je ne crois pas à l'existence de Dieu. Et je ne crois pas que croire (ou prétendre croire) en Dieu rende forcément meilleur (les exemples contraires abondent). Et rien ni personne ne me fera croyant. Alors les gens qui m'en parlent, je peux juste leur faire un aimable sourire tout en les prenant en mon for intérieur pour de doux illuminés à qui il manque un bout de cortex quelque part et qui me font un peu pitié. Crois-moi ce n'est PAS agréable, en tous cas pas pour moi, parce que je ne suis pas de ceux qui se bercent de l'illusion qu'ils sont plus intelligents qu'autrui et aiment par-dessus tout mépriser les autres. Voilà pourquoi je n'aime pas qu'on me parle de Dieu, pourquoi je ne peux pas avoir de dialogue sur ce sujet avec une personne croyante. Ca ne peut qu'être faux, inutile et désagréable.