Il a fallu qu'un jour Dieu appelle

Quand “il n’y a pas de Dieu“, il faut bien déverser quelque part son trop-plein de coeur (et de cerveau), sinon il y a risque d’explosion !

Le manque...

Quand “il n’y a pas de Dieu“, ça peine à vivre !

Le manque...

Quand “il n’y a pas de Dieu“, il y a un manque : le manque ! Et quand il y a le manque, ça vit, mais ça n’est pas vraiment la vie !

Tu comprends ?

Certains ont besoin d’une plume, d’un pinceau, d’un clavier... et ils en usent (les veinards) ! D’autres ont la chance d’avoir un ami, une amie à qui se confier.

Certains hélas n’ont rien ! Ils n’ont jamais rien eu ! Ils n’ont ni plume, ni pinceau, ni clavier... Ils n’en auront jamais. Ils aimeraient bien avoir un ami, une amie... mais cela ne leur réussit pas.

D’autres encore ont n’importe quoi pour palier à ce manque profond qui fait souffrir l’âme (la drogue, l’alcool...) dont ils deviennent malheureusement dépendants. Ce ne fut pas mon cas... (pour la joie de ma mère).

Moi, j’ai eu un chien, une guitare, surtout une guitare... surtout un chien aussi... De mon temps, il n’y avait pas de Joueb, on écrivait son journal au stylo (ou au crayon, ce fut mon cas). Bien sûr, je n’aurais jamais pu utiliser un confessionnal ! ni même me confier totalement à un ami ! D’ailleurs, je pensais que pour mon problème de manque si profond, il n’y avait sur la planète aucun médecin capable de le comprendre et de le soigner !

... problème de manque profond, significatif à moi certes, mais à tellement d’autres !

Tu comprends ?

Je t’expliquerai en 2010.