Il a fallu qu'un jour Dieu appelle
Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
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L'idée de jugement divin
L'idée de jugement divin est bien difficile à admettre. Pourtant, si d'une part la grâce de Dieu existe, le jugement n'en est pas moins inévitable lorsque la grâce n'a pas été saisie.
Si quelqu'un tombe à l'eau et ne sait pas nager, il se noie... à moins que quelqu'un d'autre le sauve. Si nous semons des roses dans notre jardin, nous récolterons des roses. Par contre si nous semons des chardons nous récolterons des chardons. Nous sommes remplis de bonne volonté, mais la plupart du temps, reconnaissons-le, nous aurions souhaité mieux faire que nous ne l'avons fait. Au résultat, peut-être que notre champ, notre vie, contient davantage de mauvaises herbes que de bonnes herbes.
Je ne suis pas épargné.
La Bible dit que “Si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses.“ N'est-ce pas là une parole rassurante qui nous invite à saisir la grâce de Dieu, c'est-à-dire à croire en lui ?
Il m'est arrivé d'être attristé devant des gens ayant refusé la grâce divine. Plusieurs fois avertis, ils n'ont pas écouté : sur eux j'ai vu un flot arriver gros comme un déluge et une avalanche emportant tout sur son passage !
“Tes jugements sont comme le grand abîme" (Psaume 36.7)
Un jugement (divin) n'arrive jamais tout de suite. Il se forme tout seul et prend maturité dans un sens décroissant. Cela devient comme une terre sur laquelle il cesse de pleuvoir et qui après un certain temps devient désertique. Comme un désert dans lequel les animaux les plus forts meurent de faim et de soif.
Quand le jugement (divin) arrive, rien ne peut l'arrêter. C'est trop tard.
Pour nous rassurer à qui veut l'entendre : "Si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses." (1 Jean 3.20)
Si quelqu'un tombe à l'eau et ne sait pas nager, il se noie... à moins que quelqu'un d'autre le sauve. Si nous semons des roses dans notre jardin, nous récolterons des roses. Par contre si nous semons des chardons nous récolterons des chardons. Nous sommes remplis de bonne volonté, mais la plupart du temps, reconnaissons-le, nous aurions souhaité mieux faire que nous ne l'avons fait. Au résultat, peut-être que notre champ, notre vie, contient davantage de mauvaises herbes que de bonnes herbes.
Je ne suis pas épargné.
La Bible dit que “Si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses.“ N'est-ce pas là une parole rassurante qui nous invite à saisir la grâce de Dieu, c'est-à-dire à croire en lui ?
Il m'est arrivé d'être attristé devant des gens ayant refusé la grâce divine. Plusieurs fois avertis, ils n'ont pas écouté : sur eux j'ai vu un flot arriver gros comme un déluge et une avalanche emportant tout sur son passage !
“Tes jugements sont comme le grand abîme" (Psaume 36.7)
Un jugement (divin) n'arrive jamais tout de suite. Il se forme tout seul et prend maturité dans un sens décroissant. Cela devient comme une terre sur laquelle il cesse de pleuvoir et qui après un certain temps devient désertique. Comme un désert dans lequel les animaux les plus forts meurent de faim et de soif.
Quand le jugement (divin) arrive, rien ne peut l'arrêter. C'est trop tard.
Pour nous rassurer à qui veut l'entendre : "Si notre coeur nous condamne, Dieu est plus grand que notre coeur, et il connaît toutes choses." (1 Jean 3.20)
Ecrit par alberto, le Mercredi 23 Septembre 2009, 18:22 dans la rubrique Actualités.
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